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Texte résumé par l'IA durumis
- Le professeur a montré le véritable visage d'un médecin qui offre le printemps aux patients qui ont rencontré l'hiver de leur vie, non pas en les considérant simplement comme des malades.
- Il était émouvant de voir le professeur ouvrir son cœur et insuffler l'espoir aux patients par la conversation, et on a pu sentir un cœur chaleureux qui comprend et compatit à la souffrance des patients.
- J'ai réalisé à travers le professeur que je dois m'efforcer de devenir le printemps qui peut donner le printemps aux patients, et j'ai ressenti un sentiment de responsabilité en tant que véritable professionnel de la santé dans la façon dont je construis des relations avec les patients à l'avenir.
Il faut pouvoir donner aux patients la vitalité du printemps, la vitalité du printemps
Après avoir assisté à la première consultation du professeur avec son premier patient de l'après-midi, j'ai ressenti un sentiment de gêne à l'époque. Je n'avais jamais vu de consultation comme celle-ci auparavant, j'étais très mal à l'aise et je trouvais cela étrange.
Ce n'est qu'à la fin de la visite que j'ai réalisé que le professeur ne se contentait pas de traiter la maladie du patient, mais qu'il traitait également les profondeurs du cœur du patient, des profondeurs que nous ne pouvions même pas voir.
Ce qui m'a frappé lors de la première consultation, c'est la patience du professeur envers le patient. Lorsqu'il se concentrait sur la guérison du patient et lui posait des questions, le professeur semblait être comme un funambule qui faisait doucement tournoyer son éventail en marchant sur un fil tendu, insistant sur le fait qu'il ne fallait pas se concentrer sur la maladie mais plutôt sur le traitement.
Le professeur n'a pas simplement parlé de la maladie avec le patient, mais a également mis l'accent sur son attitude et sa compréhension. Il était remarquable de constater à quel point le patient et son tuteur étaient heureux après leur entretien avec le professeur.
Je réfléchissais beaucoup ces derniers temps à la façon d'établir une relation entre le patient et le médecin. Pour être honnête, j'étais toujours perplexe lors de la première consultation, mais en observant le professeur effectuer la deuxième consultation avec un autre patient, j'ai pu comprendre un peu comment établir une relation avec les patients. La deuxième consultation avec ce patient était vraiment impressionnante.
Il s'agissait d'un patient qui prévoyait de recevoir une radiothérapie pour un cancer de la prostate (cancer de la prostate), et j'ai pu voir le professeur discuter longuement avec lui avant d'expliquer réellement la direction du traitement. Il ne s'agissait pas du tout d'une conversation sur la maladie, mais d'une conversation très personnelle et intime. Lorsque le patient a dit qu'il avait l'impression de parler à la maison plutôt qu'à l'hôpital, il était clair que c'était un moment essentiel pour le patient qui était rempli d'inquiétudes à cause de sa maladie.
J'ai vu et vécu de nombreuses consultations de trois minutes, voire moins, mais le professeur a passé une heure entière à parler avec le patient de tout et de rien, afin d'ouvrir son cœur autant que possible, de briser ses peurs et son angoisse face à la maladie, et de réveiller son corps et son esprit qu'il avait réprimés par la maladie. J'ai eu l'impression que le teint du patient, qui avait ouvert la porte du cabinet de consultation au début, s'améliorait progressivement au fur et à mesure qu'il parlait avec le professeur, et qu'il retrouvait peu à peu le sourire.
Ce fut un moment qui m'a permis de comprendre ce que signifie être un véritable médecin. Tout médecin peut traiter une maladie, mais ce qui compte, c'est de savoir quel médecin peut faire germer les pousses qui se cachent au plus profond du cœur du patient. C'est un honneur d'avoir pu apprendre et observer cela aujourd'hui. Le professeur a insisté sur le fait qu'il faut se mettre à la place de la personne pour comprendre son cœur et faire des efforts pour le comprendre.
Le professeur a d'abord eu une conversation privée et détendue avec le patient, puis, après que le patient a accepté de considérer la maladie non pas comme une simple maladie, mais comme un hiver pour accueillir le printemps, il a donné au patient l'espoir d'un printemps à venir, puis lui a expliqué la direction du traitement en utilisant même un modèle. J'ai été surpris de voir cela, et ses paroles ont pénétré profondément dans mes oreilles, me donnant l'impression que l'espoir renaissait en moi.
Après avoir assisté à cette consultation extraordinaire du professeur, il m'a montré un poème qu'il avait écrit intitulé "L'hiver passe et le printemps arrive", et il m'a fait écouter de la musique CCM. Ce poème ne pouvait être écrit que par le professeur.
Au début, lorsque j'ai lu et écouté ce poème, j'ai simplement considéré le printemps et l'hiver comme les quatre saisons que nous connaissons tous. Le professeur m'a expliqué que le printemps et l'été ne sont pas simplement des saisons, mais peuvent aussi être notre vie. Il a dit que l'hiver dans la vie, c'est quoi ? Pour les patients, c'est leur état actuel de souffrance qui est l'hiver. Il a dit qu'il faut pouvoir donner à ces patients le printemps. Il a ajouté que pour donner le printemps, il faut d'abord réaliser que nous sommes nous-mêmes le printemps.
En entendant ces paroles, je me suis demandé si je pouvais être le printemps qui pourrait donner le printemps aux patients. Je me suis demandé si je ne vivais pas trop inconsciemment en ce moment, si je ne me contentais pas de ce qui m'arrive et si je ne m'inquiétais pas de l'avenir. Je voulais demander au professeur comment devenir le printemps ou comment me rapprocher un peu plus de lui. J'avais l'impression que le professeur était déjà devenu le printemps et qu'il insufflait la fraîcheur du printemps et la vitalité du printemps à ses patients.
(17 mai 2019, Essai de stage clinique en radio-oncologie, 4ème année de médecine, groupe 3, Han 0ran)